mercredi 26 octobre 2016

Le grec et le lardu...


  

Que reste-t-il à sauver chez cet incommensurable imbécile ?
On se fatigue de se le demander. 
Tout au plus relèverons-nous que ses éructations ont au moins le mérite d'illustrer par le verbe les inquiétantes altérations comportementales qui délabrent cette équipe gouvernementale. 
Mais quand on a un tant soit peu de fibre patriotique, comment ne pas pleurer ?

Car ça n'est pas comme si Cambadelis (tripotte) évoluait en "off". 
Non, le mec parle dans les micros. 
C'est même son boulot de 1er secrétaire d'un parti qui, au delà d'être en état de putréfaction avancé, n'en reste pas moins celui du pouvoir en place.
Pire, la Socialie européenne en a même fait son vice-président ! Histoire de donner à ce con la dimension internationale qui lui manquait. Vous me direz, quitte à railler nos déconvenues, autant que nos voisins européens soient en connexion directe avec les clowns eux-mêmes.
Après tout, que risquerait-t-il à en rajouter aujourd'hui ? Ce pays est devenu en quatre ans et demi le pire exemple à suivre en terme de sécurité intérieure. Et ce constat s’étaye de chiffres qui font tellement froid dans le dos, que le reste du monde n'a même plus le cœur aux persiflages et aux quolibets que notre suffisance légendaire et nos sempiternelles leçons de démocratie devraient pourtant nous valoir.

Alors il y va le Cambadelis (d'avion)! Il y va franc du collier, l’œil vif, le museau frais, le poil soyeux... 
Les flics dans la rue ? Un ramassis de hors-la-loi... 
Leur mobilisation? Un complot du FN...
Bien évidemment, nous n'attendions pas de sa part une quelconque analyse cohérente. Et encore moins de considération. Les états d'âme du flic de base ne faisant aucunement partie des causes défendables, ce pitre réservera l'exclusivité de ses élans compassionnels à ce qui est idéologiquement compatibles avec ses métastases gauchistes. Il est donc clair que ses émotions iront tout naturellement vers le migrant syrien qui fuit la guerre (et qui laisse sa famille crever sous les bombes), vers le Rom et ses 14 mouflets qu'il faut sortir du bidonville, ou le musulman de la diversité salutaire stigmatisé par une France islamophobe. 
Le sort des corps de police sous le feu des barbares urbains et le traitement qui leur est réservé par leur hiérarchie, vous pensez bien que le grec, il s'en bat les noix comme de sa première féta au four...

D'ailleurs ses petits camarades du gouvernement, Cazeneuve en tête, ne l'ont-il pas devancé depuis longtemps dans ce mépris chronique des forces de l'ordre? Eux qui ont repoussé les limites de l'indigne jusqu'à les abandonner à l'ennemi sans aucune condition, leur intimant l'ordre de subir sans riposter, de se faire canarder sans dégainer, et maintenant de se laisser rôtir vivants sans la ramener...

10 flics tués en mission chaque année, 500 autres blessés tous les mois, le tout en augmentation constante, voilà donc le tarif normal à régler quand on embrasse la carrière de policier sous l'ère bénie du socialisme béat. Système pathologique qui intègre dans ses principes de base qu'en matière de sécurité, la sacro-sainte paix sociale s’accommodera mieux de 10 flics rôtis au sans plomb 95, que d'une seule racaille islamo-barbare de 14 ans blessée à l’œil par un lacrymogène maladroit.

Si encore ces méthodes basées sur le déculottage et l'agenouillement avaient contribué ne serait-ce qu'à un début de restauration de l'état de droit.

Mais là encore, fume !
Et qu'on ne vienne pas lui dire au Cambadelis (pignole), que ses petits copains en poste au ministère de l'intérieur mésestiment, sous-estiment ou déshonorent la fonction sécuritaire que le suffrage leur a confié. Grand-Dieu !
Les socialistes, ces grandes âmes, qu'on assimilerait à d'irresponsables fumistes dépassés par la mission et dénués d’empathie pour leurs gardiens de la paix ?!
N'y pensez même pas !
Le grec vous enverrait illico ce regard de femelle phacochère ménopausée qu'on lui connait tant, et vous cornerait dans les oreilles comme quoi au PS on est responsable, qu'on fait mieux que les autres, et que vos leçons d’éthique républicaine vous pouvez bien vous les ranger ou vous voulez. Et de vous rappeler que si vous avez 5 minutes à perdre, vous pouvez toujours aller faire un tour dans sa Grèce natale afin de vous y faire voir. Ou plus si affinités...

Mais revenons à nos poulets.

Donc Cambadelis (badeventilo...*) nous explique avec solennité et sérieux que le flic de base doit continuer de servir de paillasson aux divers sauvageons finis à la pisse qui peuplent nos cités, et à leurs grands frères mahométans farcis à la coranerie jusqu'aux narines. Et que ramener sa fraise tous les soirs dans les rues à coup de 2 tons, ça commençait à briser quelques burnes étoilées, que ça allait finir par courroucer une hiérarchie très peu portée sur la blague potache, et qui, pour l'exemple, pourrait bien leur garnir le fion de quelques sanctions bien méritées.
Bref, le lardu récalcitrant est prévenu...

Et comme pour en finir définitivement avec les soupçons d'incompétence qui auraient poussé les flics à l’exaspération et à la révolte, voilà que ré-apparaît l'outil polyvalent. 
La bombe anti-crevaison.
Le Tampax qui traîne dans le fond du sac. 
Le couteau suisse que tout bon socialiste (mais pas que..) dans la merde sort de la poche arrière de son froc Cerruti: Le Front National...

Bien pratique ça, le Front National.

La France dans la rue, l'impopularité présidentielle,  le terrorisme meurtrier, les agressions de flics, l'islamisation galopante, l'insécurité exponentielle, si vous pensiez que tous ces phénomènes avaient un quelconque rapport avec de prétendues inaptitudes de l'exécutif socialiste, vous vous colleriez le majeur à travers la lentille jusqu'au nerf sciatique!
Ne voyez dans ce constat apocalyptique que le colportage odieux des sbires frontistes, et les stigmates laissés par leurs sournoiseries fascisantes.
Vous qui, naïvement, avez cru que les forces de l'ordre descendaient dans la rue pour que ce gouvernement cesse de les envoyer au bûcher pour y brûler docilement, vous aviez faux.


Les keufs arpentent le pavé parce qu'ils sont noyautés, gangrenés par la peste brune !
Manipulés, téléguidés, instrumentalisés les condés !
A des fins politiciennes. Peut-être même électoralistes !
Allez savoir...
D'ailleurs, il avait prévenu l'ibérico rigide de Matignon. Son ennemi (donc celui de la nation), n'était pas à chercher dans les cellules dormantes de l'islamisme radical, ou dans les quartiers abandonnés par l'état aux trafiquants. 
Non. L'ennemi, c'est l'extrême droite. 

On l'aura compris donc, pas d'inquiétude chez nos policiers. Pas plus d'exaspération ou de désespoir.
Juste de la récupération politique...
Les cocktails Molotov, les caillassages, les lynchages, les égorgements, tout ça c'était pour rigoler et émoustiller quelque peu les tétines de Mme Le Pen. Fin de la discussion, affaire réglée.
Circulez... 

Jusqu'à quel sous-sol de la dignité faut-il descendre pour renier à ce point ses responsabilités ?
Jusqu’où est-il possible d'aller dans l'arrogance et la mauvaise foi pour en arriver à penser que pour retourner l'opinion publique dans le bon sens, il suffit de substituer des soupçons de manigances et de complot à des images chocs et des témoignages accablants?
En d'autres termes, le mépris de ces politiciens dégénérés pour leurs semblables se resume-t-il à banaliser l'horreur d'un homme en flammes sur un trottoir par le grotesque le plus achevé de leurs conclusions ? 

Quand on observe de près avec quelle suffisance et quel amateurisme les Cambadelis et autres Cazeneuve traitent ces sujets, on ne peut s’empêcher de les imaginer ne serait-ce qu'une semaine, installés cote à cote dans une voiture de la BAC. Quelle meilleure façon de leur faire ravaler leur condescendance en les lâchant de nuit dans ces fameux quartiers de non-droit prétendument imaginaires, pour y prendre la température de l'ordre républicain prétendument respecté, et y rencontrer leur population prétendument apaisée...
La leçon serait aussi radicale que mon propos est démago, j'en conviens. Mais qui, à part eux, ne serait pas séduit par l'expérience ?

En attendant une hypothétique prise de conscience et une remise en cause majeure et globale, en seront-nous réduits à compter les jours qui aboutiront à celui ou toutes leurs turpitudes finiront par leur péter à la gueule ?
Ou alors faut-il remettre la question dans l'ordre : Faudra-t-il que ça pète à la gueule de tout le monde pour avoir une chance d'être un jour débarassé de cette race de sous-politiciens ?
Je le crains... Tant les dommages collatéraux seront inévitables.
Mais peut-on y échapper ?
Eux-mêmes peuvent-ils y échapper ? N'ont-ils pas souillé irrémédiablement la fonction pour espérer encore en être dignes ?



Le déballage ahurissant de François Hollande chez Davet et Lhomme ne répond-t-il pas à ces questions ? Ne vient-il pas de fixer les limites du tolérable ?...

A vos stylos. Vous avez une heure.

Eric






* Ben oui. Si badelis, badeventilo non ?... Bon, j'ai un peu honte.. Et puis merde après tout...


              
     

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