Qu'allait-elle devenir?...
Elle
avait attiré les foudres de sa ministre de tutelle avec sa note de taxi
à 40 000 balles qu'elle avait laissé traîner sur le bureau du comptable
de l'INA afin qu'il la règle.
En oubliant, il va de soi, que
le dit comptable signe des chèques alimentés par l'argent des connards
de contribuables que nous sommes...
Et bien la sanction est tombée.
Mme
Saal a donc été "démissionnée", et comme le veut le règlement de son
administration, elle a été condamnée à être.. recasée...
La
pestifférée du gratin culturel parisien a donc réintégré les murs de
son administration de tutelle: le prestigieux ministère de la culture.
Vous savez, ce sanctuaire des splendeurs, cet écrin de lumières
universelles sans qui la France ne serait pas la France.
Bref,
ce réservoir de branleurs aussi inutiles que trop nombreux, et à la
tête duquel trône une de nos ministres "issue de la diversité" comme on
dit chez les bobos, et devant qui accessoirement, quelques intermitants
du spectacle en colère viennent montrer leur bite...
J'ai cité Mme Pelerin, Fleur de son prénom...